Rencontre des doctorants, Nancy, mai 2000
par Gaëlle Villejoubert

Vos impressions :

"Cela permet de se rendre compte (en bien ou en mal) que l'on n'est pas le seul à faire une thèse en psyko sociale" David Schwartz (Strasbourg)

"La rencontre doctorants fut pour moi une réelle bonne surprise. L'encadrement tout à d'abord a été très bien. D'une part au niveau matériel, mais également de part le fait qu'il nous laisse libre sur le choix du travail réalisé en groupe. L'ambiance entre les doctorants était quant à elle très très bonne. Je pense que ces rencontres doctorants ont parfaitement atteint leur objectif : nous faire rencontrer les doctorants de France et de Suisse afin de tisser des liens et avoir une vue plus globale de ce qui se fait en psychologie sociale francophone." Dominique Muller (Grenoble)

"Si je n'avais qu'une chose à dire ce serait "encore". On en a déjà parlé entre nous et nous étions unanimes : c'était une bouffée d'oxygène, un moment à la fois de détente et d'échange intense. Je suis restée sous le charme et j'espère pouvoir partager ça avec les autres en attendant qu'ils viennent en profiter.J'espère que notre enthousiasme aidera à entretenir la flamme. Je me tiens à l'écoute, prête à passer le relais." Vanessa Ferguy (Paris V)

"Je pense que ces rencontres sont tout à fait importantes. Tout d'abord parce que nous avons peu d'occasions de nous rencontrer. Preuve en est: nous étions peu à nous connaître. On le voit, même entre universités parisisiennes, nous avons peu de contact entre nous. Se réunir ainsi, nous permet donc de prendre contact avec ceux qui travaillent sur des problématiques proches de la nôtre mais aussi de rencontrer des thésards qui s'intéressent à première vue à des questions plus éloignées de notre sujet. Je dis "à première vue" parce qu'en fait, en travaillant en petits groupes, on se rend vite compte du fait que toutes nos questions font un peu système et qu'on a des préoccupations non seulement proches mais interdépendantes. Les recherches de chacun nous permettent aussi de nous représenter le paysage actuel de la recherche française en psychologie sociale. Enfin, il me semble aussi que c'est une façon agréable, parce que plutôt informelle, de rencontrer certains professeurs (A Nancy, Nicole Dubois et J-L. Beauvois)." Sophie Richardot (Paris VIII)

"Personnellement, je garde un très bon souvenir de la rencontre inter-doctorant qui m'a permise d'avoir une approche un peu plus concrète des recherches en cours en psychologie sociale, de constater que ma thèse n'était pas complètement déconnectée des préoccupations actuelles dans le domaine de la dissonance...Mais surtout j'ai particulièrement apprécié l'ambiance très sympa, le croissant le matin et même la douche dans la baignoire-sabot d'avant-guerre...A quand une nouvelle rencontre hors cadre formel !!!" Nathalie Sanquirgo (Paris X)

"intéressante, permet d'avoir une perspective plus ample et ouverte du thème sur lequel on travaille. sympa, on a bien rigolé. finalement, c'était peut être un peu court. " Federica Invernizzi (Genève)

"Je suis rentrée à Lausanne d'une humeur joyeuse (élément à ne pas négliger pour l'endurance), avec des idées "nouvelles" et du courage (c'est bien d'avancer aussi), et intriguée de la forme que prendraient plusieurs projets. A noter que plusieurs idées élaborées sur place - encore à l'état embryonnaire mais toutes issues d'un nouveau paradigme dont l'élaboration ne saurait s'arrêter en si bon chemin - seront certainement reconsidérées dans un proche avenir. A Valencia peut-être?" Paola Riciardi (Université de Lausanne)